Les efforts communs du Centre d’initiatives en agriculture de la région de Coaticook (CIARC), de la Fédération de l’UPA-Estrie, du MAPAQ – Direction régionale de l’Estrie et de la MRC de Memphrémagog ont permis à une première cohorte de codéveloppement de voir le jour sur le territoire de Memphrémagog.
Pour commencer l’année en force, la MRC de Memphrémagog a réaffirmé son désir d’appuyer les entreprises agricoles et agroalimentaires de son territoire pour l’adoption de bonnes pratiques agroenvironnementales lors du lancement officiel de la cohorte 2025. Cet objectif s’inscrit d’ailleurs dans son plan d’action 2022-2026 qui découle du Plan de développement de la zone agricole (PDZA).
Au cours de l’année 2025, le CIARC chapeautera cinq ateliers d’échanges et de formation entre producteurs agricoles cultivant des plantes fourragères pérennes pour perfectionner leurs pratiques agricoles, partager leurs bons coups, améliorer l’efficacité à la ferme et intégrer des actions concrètes pour l’environnement. Soulignons que la tenue de ces activités est possible grâce au soutien financier du programme Prime-Vert du MAPAQ.
Pour en savoir davantage sur le PDZA, consultez le site web de la MRC de Memphrémagog ou encore contactez la chargée de projets – Paysages et agriculture, Lyne Desnoyers, à l’adresse suivante : l.desnoyers@mrcmemphremagog.com.
« Nous sommes fiers de mettre sur pied cette cohorte de producteurs agricoles dynamiques qui unissent leurs forces en faveur du territoire de Memphrémagog. » – Jacques Demers, préfet de la MRC de Memphrémagog
« Les cohortes sont très efficaces pour soutenir les producteurs dans l’adoption de nouvelles pratiques ou la résolution de problèmes à la ferme. C’est un plaisir pour moi d’accompagner ce groupe pour discuter de plantes fourragères pérennes pendant la prochaine année. » – Marie-Pier Landry, agronome, chargée de projets en plantes fourragères pérennes et agriculture régénératrice, CIARC
« La culture de plantes fourragères est de celles qui occupent les plus grandes superficies en Estrie. Le foin est destiné aux productions animales régionales et est aussi exporté dans d’autres régions ainsi qu’aux États-Unis. Travailler à valoriser et améliorer la rentabilité de cette production est important. Elle couvre le sol à l’année, séquestre le carbone et évite l’érosion de nos terres vallonnées. » – Michel Brien, président de la Fédération de l’UPA-Estrie