Le Chef du Parti Québécois, Paul St-Pierre Plamondon, et le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, dressent le bilan de fin de session de leur formation politique en rappelant qu’elle est le parti préféré des Québécois. En clair, en talonnant le gouvernement de la CAQ et en faisant la promotion du projet d’indépendance du Québec, le Parti Québécois demeure en tête des sondages. « Essentiellement, que dire sur cette session du côté du Parti Québécois : on a commencé à titre de parti préféré des Québécois puis on termine la session exactement au même endroit. », souligne le chef péquiste.
EN BREF
- Le Chef du Parti Québécois rappelle les nombreux gains de son parti lors de la dernière session parlementaire, notamment celui sur le temps d’écran chez les jeunes et sur la planification de l’immigration temporaire ;
- Il note également le travail exemplaire de son équipe parlementaire en ce qui concerne le manque criant de place en garderies, l’état de notre système de santé, l’ingérence étrangère, la situation des agriculteurs et bien d’autres ;
- Le Parti Québécois a été le seul parti d’opposition véritablement présent en région ;
- Le Parti Québécois demeure le parti préféré des Québécois malgré les nombreuses attaques dirigées envers sa formation politique.
Le Chef du Parti Québécois tient à souligner l’efficacité de son équipe lors de cette session parlementaire. Il sent que l’influence des enjeux menés par les quatre députés de sa formation politique augmente, rappelant les nombreuses interventions de Joël Arseneau, Pascal Paradis et Pascal Bérubé, concernant le manque criant de places en garderie, de l’état de notre système de santé, de l’ingérence étrangère, de la privatisation de la production d’électricité, de la situation des agriculteurs et bien d’autres.
« On sent que lorsque le Parti Québécois se saisit d’une question, on a les capacités de faire changer d’idée le gouvernement. Sur le temps d’écran, en début de session, il n’y avait aucune ouverture de la CAQ. Puis on termine la session sur un 180 degrés complet de la part du gouvernement. Pensons également à la planification de l’immigration temporaire, qui, sans l’insistance de notre formation, n’aurait probablement pas bougé, puisque la CAQ disait explicitement qu’on ne pouvait planifier l’immigration temporaire il y a un an. Encore une fois, le PQ a exercé une influence incontestable », indique Paul St-Pierre Plamondon.
Il souligne également la présence du Parti Québécois comme seul parti d’opposition présent dans les régions lors de la dernière cession.
« Durant la session, on a aussi été le seul parti à sillonner les régions du Québec. Méganne a fait une tournée sur l’habitation pour récolter des propositions et des témoignages. Pour ma part, j’ai visité les Chambres de commerce pour présenter les Finances d’un Québec indépendant et j’ai donné des conférences dans plusieurs universités. D’ailleurs, nous avons commencé notre session à Alma, au Saguenay–Lac-Saint-Jean, et nous ouvrirons la prochaine en Abitibi-Témiscamingue. C’est important d’incarner les régions qu’on dit défendre, c’est ce que nous faisons avec succès depuis 2022, parce qu’on ne fait pas qu’écouter, on agit », déclare-t-il.
Pascal Bérubé conclut cette session en rappelant que le Parti Québécois est le parti préféré des Québécois.
« Ce qu’on peut tirer comme conclusion de cette session parlementaire, c’est que les Québécois préfèrent l’authenticité. Quand on parle à la population d’indépendance du Québec avec notre cœur et qu’on fait des constats lucides sur les enjeux que nos concitoyens vivent, on réussit à conserver qui nous sommes en tant que formation politique. Les résultats des enquêtes d’opinion sont sans équivoque : le Parti Québécois est le parti préféré des Québécois », conclut le député de Matane-Matapédia.